🔥 Quand le feu revient… et brûle tout

À 40 ans, je pensais que mon sexe avait tiré le rideau.
Le lit conjugal, devenu tiède.
Le plaisir, devenu furtif, presque honteux.
Le fantasme, relégué aux souvenirs d’adolescente.

Et puis…
Une nuit, seule, nue sous mes draps froissés, j’ai glissé la main entre mes cuisses.
Pas par devoir.
Par envie brute.

Mon doigt a frôlé mes lèvres gonflées, chaudes, plus mouillées que je ne l’aurais cru.
Chaque caresse rallumait une braise enterrée : celle de mon désir sauvage, celle que j’avais oubliée, mais qui n’avait jamais disparu.

💋 Mon corps, mon temple, ma putain sacrée

Je me suis découverte affamée.
De moi.
De sexe.
De jouissance sans filtre.

J’ai exploré mon corps comme une amante impatiente :

• Mordant mes propres seins entre mes doigts,
• Laissant mes jouets vibrer contre mon clitoris jusqu’à hurler dans le silence de ma chambre,
• Introduisant en moi des plugs, des godes lisses ou nervurés, jusqu’à gémir sans retenue.

À quarante ans, je me suis prise sauvagement.
Sans excuse.
Sans complexe.

Je n’attendais plus qu’on me désire.
Je me dévorais moi-même.

🖤 Liberté obscène et extase sans pitié

Je ne fais plus l’amour pour plaire.
Je baise pour jouir, crier, trembler, jouir encore.

• Je demande à être prise contre un mur, les cuisses écartées sans pudeur.
• Je réclame qu’on me tire les cheveux, qu’on me gifle légèrement la joue en pleine montée.
• Je murmure mes fantasmes à l’oreille de mes partenaires, sans détour, sans fausse pudeur.

Parce qu’après 40 ans, on n’a plus peur d’être une salope et une reine à la fois.

Mon sexe ne quémande plus.
Il exige.
Il explose.

Et moi, je danse nue dans mes draps trempés, rincée et ressuscitée, fière d’être à nouveau maîtresse de ma propre luxure.

✨ Toi aussi, tu portes ce feu en toi. Laisse-le éclater.